Comment?Le froid soupcon continue-t-il à se tapir en ton cœur tel un serpent?Insultes-tu ainsi l’honneur de Giuditta?Ma mes illustres ancêtres?Si tu ne me crois pas,alos crois au moins cet innocent enfant qui te regarde.Pour l’amour du ciel,Pour l’amour du ciel,n’entends-tu pas ce que mon fils te dit avec ses yeux d’enfant: