Le groupe d’experts considère que la majoration des doses de rituximab ou durapprochement des perfusions de rituximab lors du traitement d’entretien ne se posequ’en cas de contrôle insuffisant de la vascularite mais doit être discuté au cas parcas, notamment avec un centre de référence ou de compétence, en raison des effets secondaires que pourrait induire un tel schéma.